Catégorie : Contes & Légendes

  • Dans une petite vallée verdoyante au cœur d’un royaume médiéval, Eliott, un jeune scribe avide de savoir découvre un manuscrit énigmatique : le Splendor Somnium. Accompagné de Frère Ambroise et de Lys, deux compagnons aux passés mystérieux, il se lance dans une quête fantastique pour percer les secrets de ce livre magique. Mais des forces obscures œuvrent dans l’ombre. L’Ordre des Paradoxes, une organisation secrète cherchant à manipuler les rêves pour asseoir sa domination, déploie ses pions sur l’échiquier du monde. D’épreuves en énigmes, le jeune scribe comprendra que la véritable essence du Splendor Somnium ne réside pas dans le pouvoir, mais dans une vision lumineuse de l’âme humaine, capable de transcender l’espace et le temps…

    À travers un style empreint de poésie, de philosophie et de mystère, “La Splendeur des Songes” explore les méandres de l’esprit humain et la puissance cachée des rêves, nous invitant à protéger la lumière des songes, ce fragment d’infini que chaque être humain porte en lui comme un refuge, une lumière éternelle, une manière de se réunir.

    À la fin du roman, une énigme invite le lecteur à déchiffrer un mystère caché par l’auteur au sein du texte…

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  • Trois contes mystérieux. Le premier, un poème à l’être aimé. Le second, un voyage entre deux mondes. Le troisième, une louange pour l’Univers.

    « Un matin. C’était entre deux dunes cuivrées. Une oasis émeraude se révélait sous l’appel doré de l’Adhan. Une porte mauresque, ouvragée par un savant artiste s’ouvrait sur l’aurore qui point à l’Est. Sous les caresses suaves d’un pinceau coloré, les arabesques des rayons jouaient sur ta silhouette brune, baigné par le soleil inondant l’horizon. Tu étais là, Dame de cœur, lèvres roses, coiffée de jais. »

    « Aujourd’hui, lorsque j’observe le monde environnant, je me demande souvent par quel orgueil a-t-on eu l’idée de faire entrer dans un même cadre tant de mondes impénétrables les uns aux autres. L’homme n’a de cesse de vouloir se représenter l’univers qui l’entoure, et ce n’est qu’à ce prix qu’il croit le connaître. »

    « Fulgurant, enflammé, gardien des Vents qui volait au gré. Soufflant, sifflant, gonflant les ailes des grands cerfs-volants de bambou et tissus colorés. Quarante plumes élancées, bec pointu, regard d’acier, maintient entre tes serres la Terre dévoilée. »

    — Habiba, 2018.

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